Bonjour les amies...
Aujourd'hui, je vous montre deux cartes faites pour Noël et qui répondent à la question : "Comment offrir de l'argent" de manière un peu plus raffinée que le "vulgaire" billet glissé en douce et à la va-vite dans une main...
Je ne sais pas comment ça se passe chez vous, mais ici, il devient de plus en plus courant d'offrir de l'argent pour les fêtes diverses.
Je trouve que cette solution est "un peu facile" mais franchement ça répond à un réel besoin de chasse au gaspi, et surtout on est sûr de faire "le" cadeau qui plait... ou du moins, aider au financement.
Alors depuis peu, pour agrémenter le cadeau, je développe une nouvelle facette : l'art et la manière d'offrir de l'argent de manière originale...
Voici donc ma carte "cast***ma" offerte à Noël... la carte est dessous le tag, biensûr.
Le sapin vu de plus près fait avec une perforatrice "branchage"...
Dans un autre ton, la carte "Ik*a"... là, je vous laisse deviner où j'ai caché la carte.
Et enfin, dans un autre style, l'aide au financement du manteau de ma fille ainée, Magali... un peu "simple" sur ce coup.
Vous aimez ?
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Vous êtes nombreuses à suivre notre aventure Armoricaine, belle aventure que celle ci.
J'aimerai partager avec vous un commentaire de Marie Christine que j'ai reçu sur le blog concernant la parution du 18 janvier sur la ville d'Evreux :
14 août
Entre Caen et Cherbourg, nous trouvons Bayeux où la cathédrale et la tapisserie de la Reine Mathilde nous engage à nous arrêter.
La cathédrale mérite sa réputation. C’est la 1ère que je vois ayant les parois intérieures de la nef taillardée en plein de sculptures toutes différentes
Tout ce guillochage est très riche, les arceaux qui réunissent les piliers de construction romaine sont fort beaux, les colonnettes qui forment les piliers leur donnent un aspect élégant et leur ôtent leur massif.
Le curé de la paroisse, fier de sa cathédrale comme tout bon curé nous invite à visiter la salle des Chapitres dans le bas de l’Eglise et son coté gauche, salle ancienne et fort curieuse au fond de laquelle je remarque un Christ en ivoire donné à un des évêques par _______ .
Un des clochers est fendu à la
hauteur de 12 ou 15 mètres jusqu’à sa base par la foudre, ce qui lui ôte en rien de sa solidité. La tapisserie de la Reine Mathilde est bien la chose la plus curieuse que l’on puisse voir. Travail prodigieux de patience et comme ouvrage, espèce de ravaudage des plus bizarres.
La quantité de personnages et de chevaux dont elle est composée est prodigieuse. Au bas du sujet principal une ligne le sépare dans toute sa longueur d’autres petits sujets représentants pour la plupart des fables de Phèdre.
Cette tapisserie placée au
milieu d’une salle sur une espèce de chassis qui le développe dans toute la longueur de la salle, sous forme d’un carré long, la revêt à l’extérieur et à l’intérieur de sorte qu’après avoir fait le tour, on entre à l’intérieur pour suivre le fil de l’histoire.
La ville par elle-même, n’a rien de joli, elle ressemble à beaucoup d’autres. Aussi, nous en
repartons après une visite rapide pour nous rendre à Cherbourg et après avoir assez mal déjeuné à l’hôtel du Luxembourg où l’on nous sert un coquillage du nom de cofish excellemment mauvais.
Une petite citation pour finir, on dirait que même Jacques Prévert nous suit dans cette aventure :
Le temps nous égare
Le temps nous étreint
Le temps nous est gare
Le temps nous est train
Franchement, on est gâtées...
par exemple la rivière avec le petit pont et le lavoir (elle n'habitait pas très loin et entendait le bruit des batoirs).
Par contre elle y est revenue juste après la guerre, la ville avait été détruite par les bombardememnts à 80%, la cathédrale et la cour de l'évêché avaient été épargnés, ainsi que l'hôtel de ville...
L'hôtel du Lion d'Or était un hôtel très renommé avant la guerre.
Je vais continuer la lecture... Merci pour tous ces souvenirs!